Nous avons chacun des limites aux attaques, aux aleas une vie. Les etres “sensibles” sont obliges de prendre d’la distance sous peine de sombrer dans la tristesse, la depression, desfois divers problemes de sante.
Vous devez donc se preserver pour pouvoir faire face et au besoin aider nos autres. Ce n’est pas de l’egoisme, car, que peut-on Realiser si on est amoindri et incapable de reagir soi-meme ?
Avant d’attaquer, d’aider sans distinction, il faut pouvoir se defendre. Savoir dire STOP avant d’etre entraine dans des voies “abyssales” ! Se perdre ou vivre ?
Reste “l’indifferent” a tout, en dehors de sa petite personne, aussi qu’il a les capacites. Au contraire, il puisera chez les autres cela lui permet de se faire bonheur. Ce n’est gui?re a lui d’en payer le tarifs . La, jamais grand chose a Realiser. Et si on ne souhaite pas perdre sa condition physique et le ame, employer le bistouri. Hurler un delicieux coup et refaire surface !
Et ne plus se revenir.
Se reserver pour ceux qui le meritent.
Marie-jo 17 a ecrit: pour moi, l’indifference est l’absence total de sensations, c’est une position,une absence d’emotions ou : UNE PROTECTION? Certes, il s’agit d’une absence de sensations, mais Il existe probablement une raison : ca peut etre l’egoisme, le narcissisme. Ceux qui ne voient que un nombril ne peuvent nullement etre deranges comment matcher sur apex par ce qui se marche autour d’eux !
Marie-jo 17 a ecrit: s’abriter d’eventuels ressenti perturbateurs!comme : “l’angoisse, la gene, les tensions musculaires, le noeud a l’estomac etc. Reussit-on jamais a se proteger volontairement avec l’indifference ? Je crois que c’est tres Complique. On ne se refait pas. Il faut deja avoir vecu un gros cauchemar personnel pour devenir indifferent aux autres.
anemone a ecrit: Nelly a ecrit: Marie-jo 17 a ecrit: se proteger d’eventuels ressenti perturbateurs!comme : “l’angoisse, la gene, nos tensions musculaires, le noeud a l’estomac etc. Reussit-on jamais a s’abriter volontairement par l’indifference ? Je crois que c’est reellement ardu. On ne se refait gui?re. Il convient deja avoir vecu votre gros cauchemar personnel pour devenir indifferent aux autres. J’eprouve l’indifference et tout son sens en cas de facherie importante, dans une cassure irreversible. Quand je ferme chez moi, je peux ignorer un individu aussi proche..C’est aussi un moyen de se preserver, d’eviter d’autres blessures, car quand on est a bout d’arguments, si on se deniche face a votre mur borne, a quoi bon vouloir continuer. Tu dis eprouver de l’indifference. mais il faut pouvoir : quand quelqu’un que tu as bon nombre apprecie te fait de la peine, tu peux afficher une facade d’indifference, mais qu’en est-il du ressenti ? Il pourrait i?tre agreable que le ressenti soit identique, mais c’est loin de devenir acquis. I mon sens, du moins. Je me sentirais blessee, humiliee, salie, videe, epuisee !
Marie-jo 17 a ecrit: Je ne suis pas du genre a tendre l’autre joue.
Ce n’est gui?re mon genre non plus et je ne doutais pas un clin d’oeil que votre pantalon le tien !
anemone a ecrit: Reussit-on jamais a s’abriter volontairement avec l’indifference ? Je crois que c’est fort difficile. On ne se refait pas. On doit deja avoir vecu un gros cauchemar personnel pour devenir indifferent aux autres. J’eprouve l’indifference et bien le sens en cas de facherie importante, dans une cassure irreversible. Di?s que je ferme chez moi, je peux ignorer un individu aussi proche..C’est aussi un moyen de se preserver, d’eviter d’autres blessures, car si l’on est a bout d’arguments, Lorsque l’on se degote face a votre mur borne, a quoi bon vouloir continuer. Je ne suis nullement du genre a tendre l’autre a.
— OK avec toi. Par la force des choses, j’ai ete obligee de mettre une carapace de protection. mais je ne crois pas me tromper en disant que je tendrai quand meme la main a un ennemi en difficulte. physique (concernant le demeure. il pourra se l’accrocher avec une epingle double )
anemone a ecrit: Nelly a ecrit: Tu dis eprouver de l’indifference. mais il va falloir pouvoir : quand un quidam que tu as nombre aime te fait de la peine, tu peux afficher une facade d’indifference, mais qu’en est-il du ressenti ? Il serait rejouissant que le ressenti soit similaire, mais c’est loin d’etre acquis. Pour moi, du moins. Je me sentirais blessee, humiliee, salie, videe, epuisee ! Nelly, j’ai Notre reputation d’etre fort dure..je peux bannir tout sentiment envers quelqu’un si l’on m’a fera tres en gali?re, ainsi, encore plus envers ceux que j’aime. J’ai mis sous clef les sentiments envers des membres de la famille, je ne dis gui?re que pendant un certain temps, on n’eprouve aucune chagrin, mais il convient arriver a se conditionner. Pour arriver a cette extremite, il faut une dose de souffrance enduree. Si je n’avais nullement pris ces decisions, bien des trucs d’avenir seraient sans suite. Faut-il que tu aies vecu des moments difficiles Afin de reussir a verrouiller ainsi ton coeur et ton esprit !
anemone a ecrit: Je crois qu’en plus en arrivant a un certain age, on supporte de moins en moins le mal gratuit. Je crois qu’on ne le supporte a aucun age et tellement d’enfants paraissent traumatises a vie par des actes de barbarie de leurs amis. Mais il faut reussir a se blinder ainsi.
anemone a ecrit: Mais chaque caractere reste different, j’ai l”™occasion de pouvoir trouver la force de batir un mur total d’indifference. Oui, tu te proteges ainsi et tant mieux pour toi si tu y arrives. Pour ma part, je ne peux gui?re le Realiser sans souffrir. Mais ca est en mesure de ronger. Je n’eprouve aucune haine : desfois une deception, parfois une colere et surtout une rancune, tapie au fond de moi, lequel pourra se reveiller en fonction des circonstances.
Brumes a ecrit: — OK avec toi. Par la force des trucs, on m’a obligee de mettre une carapace de protection. mais je ne crois pas me tromper en disant que je tendrai quand meme mon tour a un ennemi en difficulte. physique (pour le est. il pourra se l’accrocher avec une epingle double ) Je n’aime pas le mot “ennemi”. S’il s’agit d’un proche, Complique de lui accoler cette etiquette, a moins d’avoir subi quelque chose d’enorme. S’il s’agit tout d’un etranger, je reagirais en meme maniere que s’il s’agissait tout d’un inconnu. Je donnerais son mains s’il le fallait, prete a passer a nouvelle chose ensuite, sans regret ou, peut-etre meme avec une rapide pointe de satisfaction de lui mettre secours.
Je me souviendrai i chaque fois d’une ancienne collegue de travail. J’etais jeune sans rien connaitre d’la vie. Cette collegue avait un seul frere plus age qu’elle. Apri?s partage de l’heritage, elle s’est sentie flouee (je ne connais nullement le detail). Elle pouvait penser a propos de le frere : “meme s’il crevait a cote de moi, je ne m’arreterais gui?re pour l’aider”. Ca m’a marquee.